Leçon n°43 – Processus Ego-Moi

Nota bene: Pour comprendre cette leçon, il est nécessaire d’abord de (re)lire la leçon n°12 (Je, moi, ego etc.) et la leçon n°29 (Spiritualité).

Dans notre tradition occidentale, la connaissance est impensable sans un «moi». qui peut prendre connaissance et conscience de ce qu’il expérimente. Or, rien dans notre langage courant ne nous dit de quoi il s’agit, quant aux définitions du ‘moi’, les différentes écoles de psychologie et de psychanalyse n’ont toujours pas réussi se mettre d’accord.

Notre petite conscience ordinaire qui commence à fonctionner dès que nous ouvrons l’œil le matin s’exprime en principe par: «Je suis conscient(e) de…». Notre langage courant ne dispose d’aucun mot qui rende compte du fait que ce ‘je’ qui se dit « conscient de » se trouve, à des degrés nombreux et variables, contaminé en permanence par l’activité égotique. Le résultat est connu: pas de mot = pas de travail de connaissance possible. Donc j’en crée un: le processus Ego-Moi.

Confusion de base:

Contrairement aux grammairiens qui différencient sujet et complément d’objet, notre langage courant ne fait aucune différence de niveau entre «je» et «moi» et il fabrique cette auto-hallucination d’un «je» qui pourrait demander ce qu’il veut à un «moi», et obtenir une réponse… Sommet d’absurdité obtenu avec la formulation «Je me comprends»[1]! Essayez de demander à n’importe quelle personne de votre entourage quelle différence elle fait entre « je » et « moi » et vous pourrez ainsi contempler comment fonctionne notre confusion mentale ordinaire à ce propos.

Du point de vue de la Sémantique Générale, le terme «je» désigne aux niveaux verbaux ce qui se passe aux niveaux silencieux pour ‘moi’, à savoir mon organisme-comme-un-tout-dans–ses-environnements. Pour faire simple, retenons que lorsque ‘moi’ veut s’exprimer, il dit «je». Mais il n’y a qu’une seule personne[2].

Outre cet aspect, la psychologie bouddhiste enseigne depuis son origine que  le terme « moi » désigne une configuration mentale multifactorielle et provisoire.

Confusions secondaires

Cette confusion n’est pas la seule. Nos façons ordinaires d’utiliser le langage courant fabriquent et reflètent au moins Trois Grandes Illusions classiques[3].

La première illusion de l’identité est celle d’être identifié à notre nom, que nous sommes notre nom.

La seconde illusion de la coupure nous fait croire que les mots «je» et «moi» désignent des phénomènes visibles différents, voir même des «choses» différentes.

La troisième illusion de la permanence nous fait croire que notre existence, nous, le monde entier etc., constituent des phénomènes durables et permanents.

Chaque fois que nous sommes inconscients de ces illusions-là, nous nous comportons comme si notre nom, c’est notre personnalité, immuable depuis notre naissance jusqu’à notre mort, voire même au-delà, pour certaines religions. Cette illusion de la permanence nous fait dire par exemple: «Oh, tu n’as pas changé! Tu es bien toujours le/la même, tu es resté(e) fidèle à toi-même…, etc.»

C’est qui, «Moi-même»? Regardez-bien … Regardez mieux! «Moi-même», ça change tout le temps! Quand nous arrêtons de faire du bruit avec notre bouche et que nous regardons ce qui se passe à l’intérieur, ça change tout le temps!

Lorsque nous nous couchons le soir, ce qui se passe dans notre peau a changé par rapport à ce qui se passait en quittant notre lit le matin. Pas la même énergie, pas le même regard, pas les mêmes idées, en bref, pas les mêmes configurations mentales. Et un seul mot «moi» toujours le même, employé à toutes les sauces, pour parler à propos d’un PROCESSUS, c’est-à-dire une succession d’événements interdépendants dont le résultat, ‘moi’, change tout le temps!

Par ailleurs, les mots que nous employons à propos de nos ‘états’ conditionnent les idées, les sentiments, les émotions, les évaluations et les jugements qui les accompagnent et dont nous projetons ensuite le résultat sur nos environnements internes et externes, vivants ou pas.

Sans conscience que ce qui se passe (aux niveaux silencieux) change tout le temps, nos idées à propos de «moi» ne changent pas puisque notre (pré)nom ne change pas. Et notre langage ordinaire est capable de créer cette illusion à lui tout seul!

Illusions annexes

Pour ajouter à la confusion, cette illusion de la PERMANENCE est renforcée par une autre illusion qui consiste à ‘nous’ représenter notre «moi» comme une entité statique; une sorte de ‘truc’ qui ne bouge pas, subtilement entretenu par le processus de chosification. Lorsque je pose la question à quelqu’un: Quand vous dites «moi», de quoi parlez-vous? Qu’est-ce que ce «moi» pour vous?, mes statistiques personnelles montrent qu’environ 6 fois sur 10, la réponse commence par: «C’est quelque chose qui…», 3 fois sur 10 j’entends une réponse du genre «Je ne sais vraiment comment dire ça», et seulement 1 fois sur 10, la réponse prend la forme de: «C’est une sorte de personne (ou personnalité) qui…»

Une quatrième illusion entretenue par la confusion mentale consiste à ignorer de façon inconsciente qu’une certaine interprétation formelle du langage courant nous divise entre ‘ma conscience’ (ou ‘mon esprit) d’un côté et ‘mon corps’ de l’autre, sur le modèle binaire off/on et informatique 1/0. Cette formulation en ‘Toutourien’[4] ne décrit pas correctement ce qui se passe et ne rend pas compte d’une réalité qui n’est pas aussi simpliste. Car outre ces deux là, il y a au moins «moi», il y a aussi «l’Ego» et nous laisserons de côté provisoirement des concepts d’âme, d’entité et d’identité, histoire de ne pas rendre insoluble notre présente recherche!

Ces rappels indispensables étant terminés, il est temps d’exposer ce qui est de l’ordre d’un ‘grand secret’, voire même d’une sorte de ‘révélation’.

Le processus de confusion

L’aspect le plus important consiste à comprendre qu’il fonctionne d’abord aux niveaux silencieux et inconscients et qu’il le reste tant qu’il n’a pas pu être observé et contemplé en conscience de façon pratique et factuelle, hors pilotage égotique.

Ce processus de confusion n’est jamais stable et le pourcentage d’Ego-pollution de la conscience change en permanence. L’EgoSystème résout au plus vite la plupart du temps la question en ‘décrétant’ que lui, c’est moi, et réciproquement. Notre ignorance ordinaire et l’aveuglement qui l’accompagne font le reste. Tant que nous n’avons pas appris à faire et à penser autrement, non seulement nous y croyons dur comme fer, mais encore nous nous comportons en accord avec cette croyance inconsciente qui se présente comme une vérité éternelle et intangible. « Je suis fait(e) comme ça et on ne me changera pas« .

Et notre vocabulaire courant qui est le moyen d’expression favori de notre esprit ordinaire piloté par l’EgoSystème entretient à plaisir toutes les confusions possibles: tantôt la coupure, tantôt la confusion, tantôt l’identification, etc.,

Le résultat se traduit par une quantité de configurations mentales qui sont autant de manifestations partielles de l’Ego-système et qui se succèdent de façon continue; elles viennent ‘habiter’ notre esprit à la façon de ces personnages que nous appelons les Figures Cachées du Monde Intérieur[5]. Toutes prétendent diriger notre conscience et toutes s’expriment en possédant « moi » de façon temporaire et en disant « je » quand elles parlent de « moi »!

Non, ce n’est pas du Raymond Devos; je décris notre réalité inconsciente ordinaire.

En psychologie bouddhiste, notre conscience fonctionne en Esprit d’Éveil (simplicité, justesse, tranquillité, etc.) d’autant mieux qu’elle n’est pas contaminée par les fonctionnements paranoïaques et banalisateurs de l’EgoSystème. Pour tenir compte de ce processus de contamination, j’ai nommé «ego-moi» la perception que nous pouvons avoir de notre petite conscience personnelle lorsqu’elle ne fonctionne visiblement pas en état de calme mental et que les signes de perturbation émotionnels, sentimentaux et autres sont repérables et identifiables par ‘moi’.

D’habitude, les autres (justement parce qu’ils ne sont pas dans ma peau) s’en aperçoivent beaucoup plus vite que moi, d’ailleurs… Pour mémoire, ce phénomène d’inconscience a été nommé l’Aveuglement Spécifique.[6]

Le verrouillage de l’aveuglement: « je crois »

Les stratégies de fascination et d’illusion de l’EgoSystème sont d’une telle efficacité que notre conscience ego-contaminée se laisse presque toujours entraîner à croire ce qui lui apparaît comme des intuitions profondes en étant, au final, persuadée d’avoir raison. L’illusion est si puissante que toutes les alertes, conseils, remarques et interventions de notre entourage, aussi raisonnables, logiques et intelligents soient ils, se heurtent le plus souvent à un mur de refus.

La géniale astuce de l’EgoSystème consiste à nous arcbouter sur nos croyances comme s’il s’agissait de vérités divines et de faire en sorte qu’il ne nous vienne surtout pas à l’idée d’en vérifier l’intérêt, l’utilité, la pertinence et les suites logiques. Et lorsque l’idée de vérifier ces aspects se fait plus insistante, si cette attitude pourrait nous être nuisible, notamment sous la pression éventuelle de nos conseillers et de nos entourages, elle est de suite rejetée de façon préventive par ego-nous sans examen.

La force du ressenti intérieur est telle que « Personne ne comprend pourquoi je m’entête, même pas ‘moi’. Je sais même que ce que je pense et ce que je fais va à l’encontre de toute logique et de toute raison mais je sens que c’est ça que j’ai à faire, parce que ce sentiment est tellement fort qu’il est forcément vrai. » Or, cette prémisse est fausse.

Ce n’est pas parce que je considère comme vrais mes ressentis que je dois croire aveuglément aussi aux interprétations et suppositions qui en résultent la plupart du temps de façon inconsciente.

Mais dans les faits, à ce stade, toute compréhension devient impossible. La paranoïa de l’Ego qui tourne à plein régime peut même aller jusqu’à développer ce que j’appelle « l’Attitude Héroïque »: « Quelles que soient les conséquences, je les assumerai. Je serai fort(e), et comme personne ne me comprend, je m’en sortirai tout(e) seul(e), de toute façon. » L’EgoSystème juge toujours le monde entier et ses habitants trop limité pour comprendre son réel génie…  

Ensuite, lorsque se produisent les résultats désastreux des décisions prises sous emprise égotique, nous disons: « Mais pourtant, j’en avais vraiment l’intuition, c’était tellement fort!« . Certes; mais ce n’est pas parce que « c’est fort » que « c’est vrai »; et ce n’est pas parce que « c’est vrai » que « c’est juste » et que cela contribue à notre bonheur.

Cette attitude de conscience ego-polluée à 100% est connue de la psychologie bouddhiste sous le nom de Stupidité. L’étymologie de ce terme est « stupor« , mot latin qui désigne un état d’abattement et de prostration dans lequel toute activité intellectuelle, rationnelle, raisonnable et intelligente se trouve interrompue. Elle est liée au poison de  l’Ignorance et au concept d’aveuglement.

En Travail Intérieur, faire cesser l’ignorance de ce processus de fusion/confusion constitue un point de connaissance essentiel. En effet, tant que nous n’avons pas appris à faire la différence entre nos propres intuitions, idées, interprétations, inférences etc. (soi-disant conscientes) et les suggestions habiles mais inconscientes de l’EgoSystème, nous ne pouvons pas discerner dans quelle mesure nous sommes influencés, voire trompés, voire aveuglés par nos conditionnements inconscients.

Si nous ne pouvons pas reconnaître de façon certaine l’origine de nos productions mentales (nos ressentis de conscience, nos sensations, nos sentiments, nos idées, nos perceptions etc.) et leur faire confiance, nous ne pouvons pas baser nos décisions et nos actes en conscience sur eux. L’utilité de cette prise de conscience ne fait donc aucun doute, mais comment allons nous réussir à faire cela?

Mise en œuvre

Le ‘secret’ consiste à décider de mettre en doute de façon systématique et à tous les niveaux de l’existence ce que nous percevons de nos pensées et de nos sentiments. Lorsque nous sommes ego-pilotés, (c’est-à-dire pas en état de calme mental) tout ce que nous percevons et ressentons à propos de ce qui se passe peut être faux et l’est le plus souvent en tout ou partie. Lorsque nous basons nos actes sur des prémisses fausses, nous n’avons pas à nous étonner que les résultats soient catastrophiques. C’est un résultat prédictible!

Nous pouvons maintenant tenter un résumé rapide de la mise en œuvre.

  1. Avant même toute autre considération, opérer le réglage de départ qui a pour objet de décrocher l’attention première de tout objet de fascination extérieur (et intérieur si possible) et de restaurer les conditions ‘normales’ de conscience corporelle, laquelle permet de sentir si l’état de calme mental existe ou pas. Il s’agit d’abord de rétablir un état interne qui permette de contempler correctement la situation.
  2. Dès que la conscience vous prend que vous n’êtes pas en état de calme mental, passer immédiatement à l’exercice du Stop[7], qui a pour objet d’interrompre toutes les activités internes et externes en cours. Ce faisant l’ensemble des agitations et préoccupations externes s’arrête. Le cours inconscient de l’activité égotique s’arrête également. L’idée consiste à ‘arrêter les frais’ et à ‘stopper l’hémorragie’ sans aucune autre considération. Immédiatement.
  3. Alors commence le processus d’observation puis de contemplation qui consiste à prendre connaissance de ce qui se passe sans processus de saisie, d’analyse, d’interprétation, de théorisation, ni même de description; lorsque nous sommes dans un Temple, ces activités-là sont tout simplement déplacées. Ce temps de contemplation doit être prolongé jusqu’à ce que tous les processus d’agitation parasitaires aient disparu. Et il suffit justement d’attendre suffisamment longtemps (quelques minutes au plus suffisent de façon ordinaire) pour qu’ils disparaissent sans qu’il y ait besoin de faire qui que ce soit d’autre!

Ce point d’arrêt sur image prolongé[8] est très important. En situation de stress, l’activité de l’EgoSystème est toujours hystérico-frénétique. Pour mieux comprendre ce qui se passe, essayez de vous représenter un cavalier à l’arrêt qui talonne son cheval pour le faire partir au galop. Le cheval ne réfléchit pas: il est dressé à obéir. C’est pourquoi il démarre de façon réactive, efficace, instinctive mais inconsciente. De toute façon, il n’a pas le temps d’agir autrement. Nous non plus.

Sans apprentissage ni entraînement au Calme Mental, dès que l’EgoSystème pilote à notre insu notre organisation mentale, nous agissons à la façon du cheval. Dans cette analogie, les ‘ordres’ de l’Ego, qui agissent comme des coups de pieds dans le ventre, ‘sont’ les émotions, images, pensées, sentiments et tout le cortège des ressentis perturbateurs qui transforment notre petite conscience en une sorte de grenouille stupide et hystérique, fascinée par le regard du serpent et pétrifiée par la peur.

C’est pourquoi le simple fait de contempler en conscience (ce qui s’appelle non-agir) et ‘d’attendre que ça se passe’ (ce qui s’appelle Laisser advenir) en observation et en analyse, casse tous les processus de conditionnement hyper réactifs que déclenche automatiquement l’Ego dès que sa paranoïa et ses nombreux systèmes-peurs ont été activés.

En réponse aux ‘coups de pieds de l’Ego’, chaque fois que nous parvenons à ne pas réagir et à ne pas démarrer comme des animaux fous et inconscients, nous disposons des conditions correctes pour mettre un terme à la façon dont il occupe de façon ordinaire notre place[9] de conscience. Dès que « nous cessons de croire que ce qui nous arrive est réel »[10], nous restaurons les conditions dans lesquelles notre conscience va pouvoir recommencer à fonctionner en état de calme mental et à percevoir les « choses telles qu’elles sont ».[11]

A la suite, il reste quelques étapes indispensables à vivre:
4. Choisir d’arrêter de croire de façon aveugle que ce qui nous arrive est réel[9],
5. Observer quelle croyance est en train de nous piloter
6. Prendre la décision de conscience de vérifier d’où sortent nos croyances
7. Le faire
8. Les invalider.

Conclusion

En pratique bouddhiste, le premier sujet de la contemplation en méditation est le processus d’impermanence, non seulement dans l’univers matériel visible mais aussi au niveau de l’illusion de la permanence du «moi». Dès que la conscience nous prend [12] que « moi » change tout le temps, alors c’est merveilleux!

Cela signifie que la possibilité existe de cesser de nous comporter en esclaves imaginaires et inconscients de nos cadres sociaux, de nos conditionnements, nos stéréotypes, nos scléroses et nos invariants de structure. ‘Sortir de nos prisons’ intérieures et extérieures, exister différemment, ressentir ce qui se passe dehors et dedans autrement,  à notre façon unique, sans limitation et sans interprétation.

A titre didactique, j’ai employé 10 fois l’adjectif «inconscient» au cours de cet article, histoire de rappeler que, vu la façon dont fonctionnent nos capacités d’attention (et leurs limites) notre réalité consciente ordinaire représente une très petite proportion de ce que nous pouvons connaître de «la réalité». Mais c’est quand même dans le cadre de ce tout petit peu que l’EgoSystème nous développe Egollywood et que nous essayons de prendre des décisions de conscience et d’existence les moins mauvaises possibles.

Pour conclure, lorsque j’emploie le terme Ego-moi, je désigne le fait que «Je reconnais la présence de l’activité égotique dans mon fonctionnement présent. J’ai conscience que je ne sais pas tout[13], que je ne peux pas tout percevoir, ni tout comprendre, ni tout sécuriser. J’ai conscience d’Eveil (petite et limitée mais réelle quand même) de la pollution que cela représente. J’ai conscience que je fais ce que je peux et malgré toutes mes ‘ego-envies’ de réussir, ce que je peux me représenter et à la suite, réaliser, est limité. J’ai conscience que «je ne suis pas cela», mais j’en sais assez pour comprendre que j’ai perdu ma Présence.
Alors STOP! J’arrête tout le plus tôt possible

Ensuite, mes écrits à propos du Syndrome de la Crotte de Chien, de l’exercice du Stop, du processus d’invalidation de la Souffrance ainsi que les réglages de Méditation et d’Esprit Eveil deviennent applicables.

– Bon. En résumé, ça veut dire qu’on ne peut plus faire confiance à rien ni personne!

Si vous entendez cette petite voix qui vous parle (en limite de conscience) depuis votre ‘monde intérieur’, identifiez le petit côté paranoïaque (méfiance universelle et inconditionnelle) de votre Ego(tine) préféré(e) et commencez tout de suite à relire le paragraphe borduré à gauche juste au-dessus. Terrible, non?


[1] Voir Leçon n°34: Je me demande à qui?
[2] Voir Leçon n°44: Compte rendu
[3] Voir Leçon n°48: Trois Illusions
[4] Voir Leçon n°35: La Structure OubienOubien
[5] Voir Mode d’emploi n°8: Figures cachées
[6] Voir Mode d’emploi n°1: Aveuglement spécifique
[7] Voir Mode d’emploi n°11: Procédure de Stop-Urgence
[8] En Sémantique Générale, nous employons les termes 1°) réaction différée 2°) pause cortico-thalamique
[9] Voir Leçon n°40 et Mode d’emploi n°10: Occuper la place de l’Ego
[10] Voir Leçon n°24: Le Processus d’Intériorisation
[11] Voir Leçon n°39: Voir les choses telles qu’elles sont
[12] Oui. C’est plutôt dans ce sens là que ça fonctionne.
[13] 2ème prémisse de la Sémantique Générale: une carte ne recouvre pas tout le territoire qu’elle représente.